Beaucoup d’entreprises restent donc très analytiques dans leur approche, se contentant de plonger dans les détails de chaque jeu de données plutôt que d’avoir une approche transversale permettant de trouver des corrélations. Aujourd’hui, il faut savoir faire les deux. C’est le propos de cette deuxième édition annuelle du Global Marketing Engagement Index, qui analyse les 300 premières entreprises du classement « Forbes Global 2000 ».
Par l’intermédiaire de notre méthodologie propriétaire LEWIS Marketing Engagement Tracker (MET), nous quantifions l’impact et le succès d’un mix marketing sur les revenus générés et la notoriété de la marque. Nous sommes en mesure d’observer la performance de nombreux facteurs du succès et d’échec. Ceci en déchiffrant les métriques clés du spectre marketing qui se compose du site, du paid search, des réseaux sociaux, de la personnalisation de l’expérience consommateur, des capacités d’analyse de la marque, et de la cybersécurité.
Notre étude révèle des informations critiques sur ces entreprises, telles que leurs forces et faiblesses actuelles dans leur engagement marketing ; où elles sont challengées et où elles sont exposées. Les business les plus performants (d’après Forbes) se trouvent être les plus habiles dans leur mix marketing, earned & owned media et social media. Les acteurs historiques devancent en majorité les plus jeunes entrants, mais ces derniers font mieux en matière de marketing digital et d’optimisation de site.
Cette année, LEWIS a distingué une progression dans les résultats de l’étude et dans le rapport entre le score MET de entreprises et leur marge brute. Voici les enjeux clés auxquels nous avons trouvé des réponses dans cette édition 2019 :
- Pourquoi les États-Unis continuent de dominer le Top 10 ?
- Comment les performances marketing digitales sont liées à la profitabilité ?
- Pourquoi les entreprises traditionnelles excellent dans leur engagement marketing ?
- Quels outils et moyens digitaux sont aujourd’hui sous-utilisés ?
- Pourquoi les sites internet sont une pièce critique de l’infrastructure ?